Sur ma table

6 juillet 2020

Les traités de philosophie de Laurent Schlick

Filed under: Non classé — surmatable @ 8 h 32 min

Père fondateur du mouvement positiviste reconnu «Cercle de Vienne», la fonction de Schlick a été fortement influencée par le jeune Tractatus Logico-Philosophicus de Wittgenstein (Traité de la raison philosophique). En conséquence, l’attention principale de Schlick était sur la langue et le sens et l’a guidé à développer le concept de «vérificationniste» du sens. Comme l’a souligné Schlick, une déclaration est significative si elle est parfois exacte (comme «Tous les célibataires sont des hommes non mariés») ou peut-être est-elle conceptuellement vérifiable par rencontre. Par conséquent, pour Schlick, les affirmations de la recherche ne sont significatives qu’à ce jour car il existe une technique, en principe, où elles peuvent être approuvées. La mise en garde «en principe» est essentielle pour permettre que les fausses déclarations soient aussi utiles que les versions exactes. Les allégations fausses sont des affirmations qui auraient pu être exactes mais qui, en vérité, s’avèrent ne jamais l’être. Les enregistrements sans valeur, alternativement, sont ceux qu’aucune formation ne pourrait éventuellement entraîner dans le concept à une affirmation. Des exemples typiques de ce type de revendications, insiste catégoriquement Schlick, sont disséminés dans tout le passé de l’approche métaphysique. « L’âme survit après la mort », « Dieu sera omniscient et bienveillant », « Tout est Un » et de tels autres ne sont ni corrects ni faux mais simplement inutiles, conformément à Schlick. La théorie de l’affirmation a fini par avoir un effet énorme au milieu du XXe siècle. Étant donné que les affirmations de la recherche et d’autres exactes par définition sont importantes, il conviendrait de rendre compte des propositions d’éthique, de beauté et également d’autres affirmations sans proposition. Pour Schlick, ces types d’énoncés n’ont aucun littéral, ce qui signifie, mais communiquent simplement un état d’esprit ou une exclamation pour le présentateur. L’influence de cette stratégie peut être vue sur l’émergence des concepts «émotivistes» variés à la fois en éthique et en esthétique au cours de cette période (voir, par exemple, G.E. Moore). En ce qui concerne les mathématiques et le bon sens, leurs propositions tombent sous le même crochet que toutes celles qui sont exactes évidemment. Ils peuvent être, selon Schlick, littéralement des tautologies. Cela représente une difficulté importante pour vos comptes vérificationnistes, ce qui signifie. Car, même si ce n’était pas du premier coup que les philosophes se sont fait affirmer que les propositions numériques n’étaient que correctes, évidemment, les assimiler à la tautologie semble pour le moins téméraire. De toute évidence, une tautologie ne fait que répéter ou indiquer une chose actuellement signalée. Pourtant, les mathématiques sont autant une maîtrise de soi de la découverte que la recherche scientifique. Un seul a besoin de jeter un œil à sa croissance de Pythagore vers les mathématiques modernes de Cantor, Hilbert, Turmoil Idea et Mandelbrot’s Fractal Generations pour l’apprécier. De plus, étant donné que les développements dans les mathématiques 100% pures sous-tendent et conseillent fréquemment les prévisions faites par les hypothèses physiques réelles, en particulier parce que le développement de l’idée d’Einstein de la relativité et des aspects quantiques de Schrödinger, la plage de partage entre les propositions de mathématiques naturelles et de sciences naturelles est floue au plus.

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